
Pour choisir, il nous faut plus que la liberté. Il nous faut une présence et une conscience de soi afin de créer l’alignement cohérent entre ce que nous pensons, ce que nous disons et ce que nous faisons.
Ainsi, il est possible de rechercher les choses qui correspondent exactement à ce que nous souhaitons. Mais, il est aussi possible de tendre vers les choses qui sont exactement comme elles doivent être et de les apprécier.
Le choix nous amène à éliminer une possibilité. La conscience nous permet de ne pas être piégés dans une approche duelle.
Je parle de conscience, car ultimement, elle peut faire la différence, entre l’espoir de faire tout notre possible pour obtenir tout ce que nous voulons, ou l’établissement d’un état d’ouverture d’esprit inconditionnelle qui nous permettra d’accepter ce que notre vie aura à nous offrir.
La paix ne réside pas dans l’un de ces choix, mais dans l’harmonie entre ce que nous pensons, ce que nous disons et ce que nous faisons sans nous priver de notre paix.
Une chanson de Daniel Lavoie – Y’a des jours de plaine
Les paroles sur http://www.daniellavoie.ru/dl/index.php/fr/vie/309
COPYRIGHT – DROIT D’AUTEUR – Daniel Jean – Toute reproduction du présent document (pour des objectifs non commerciaux uniquement) est libre et souhaitée, sous réserve de n’effectuer aucune modification et de mentionner l’auteur et le site dandanjean.wordpress.com. Merci.
