Il est étrange de constater que la quête de la beauté rend aveugle. Nous en arrivons à regarder l’autre sans le voir.  Nous recherchons souvent que les liens avec la beauté, sans voir réellement la personne.

Toute personne exprime sa singularité par différente manifestation. La vivacité du regard, les teintes de la peau quand elle se passionne, l’odeur de sa présence, la douceur de son contact, la vivacité de ses expressions et la profondeur de son expérience.

Parler uniquement de la valeur du corps c’est surtout s’exprimer que par la forme, c’est extraire du corps l’esprit. Ce qui est laid ou ce qui est beau est avant tout un jugement de l’état d’esprit de la personne qui regarde et non un fait.

Toutes les personnes sur cette terre ont un jour touché le cœur d’une autre personne.  Parfois, c’est en bas âge, parfois dans le grand âge. La durée de cette période est à géométrie variable. Lorsqu’elle se termine, si nous perdons une grande partie de notre valeur, c’est que nous dépendons de l’aveuglement des autres.

Les humains qui ont conscience de leur propre nature ont compris que l’action de leur vie est comme l’action du soleil ne repose pas sur un jeu de lumière au lever et au coucher. Même derrière les nuages, le soleil agit.

Les raisons pour réfuter les critères physiques qui nous empêchent de vivre pleinement et inconditionnellement sont nombreuses et souvent culturelles. La gratitude nous apprend à apprécier ce qui est plus que ce qu’il ne paraît.

Une chanson d’Alex Nevsky – Les Coloriés

Les paroles sur https://laboiteauxparoles.com/titre/63612/Alex_Nevsky_Les_colori%C3%A9s

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