L’Infini des possibles

Au bout du compte, la vie est une équation très simple. A chaque fois que tu aimes, que ce soit un homme ou un enfant, un chat ou un cheval, tu ajoutes de la couleur à ce monde. Quand tu ne réussis pas à aimer, tu le ternis.

*

L’amour, sous toutes ses formes, change une morne esquisse en peinture flamboyante.

*

C’est de se perdre qui est beau. Se perdre dans un livre. Se perdre dans les yeux de quelqu’un. Se perdre dans une symphonie si douce qu’elle fait jaillir les larmes.

*

Je ne suis qu’une petite colline, tu sais. Je suis désolé si tu m’as pris pour une montagne.

*

L’amour, pour moi, c’est plutôt un emprunt à la bibliothèque. Pour ne pas le perdre, il faut le renouveler sans cesse. Sinon, on le paye cher.

*

Ceux qui ne peuvent pas gagner les cœurs par l’amour contrôlent souvent par la peur.

*

Tous les amours ne s’accompagnent pas de passion et toutes les passions ne s’accompagnent pas d’amour.

*

La vie semble infiniment plus douce quand on choisit de voir les meilleurs côtés des autres, pas les pires.

*

Tu verras que la vie est bien plus intéressante quand on apprend à dire « C’est possible ».

*

L’argent est un outil, pas un trésor.

Lori Nelson Spielman dans L’Infini des possibles

Une pièce musicale Oceanos (OCEANS)

Laisser un commentaire