Il m’est arrivé plus d’une fois d’avoir un mauvais pressentiment au sujet d’une personne ou d’une décision à prendre. Les fois où je n’ai pas écouté, je me suis rendu compte que j’ai manqué une occasion d’être à l’écoute de ce que je vis. Je ne pense pas avoir un don particulier, mais, il m’arrive de deviner, de pressentir, d’avoir une intuition qui l’emporte sur mon esprit plutôt rationnel.
De nombreuses études se sont penchées sur le sujet, je pense à Dean Radin auteur du livre La conscience invisible ou à Larry Dossey, auteur du livre La Science des Prémonitions, ou les chercheurs de l’Institute of HeartMath Research Center en Californie qui s’appuient sur des recherches pour expliquer le phénomène.
Notre instinct de survie est toujours en mode veille, et nos sens tentent constamment de sonder notre environnement et ce qui pourrait survenir. Inconsciemment, nous traitons des informations, et selon ces recherches, pas seulement avec le cerveau, mais avec le cœur pour interpréter.
Ces manifestations sous formes de sensations, de gênes physiques, d’impressions désagréables, seraient là pour nous protéger. Cela, le plus souvent, agit en nous de façon inconsciente. Lorsque cela devient plus urgent, dès que ressentons une alerte ou une menace, le corps devient messager et nous devons, autant que possible, être à l’écoute de cette information. Ce n’est pas toujours évident.
La science ne doit pas fuir ce qui parait anormal. Albert Einstein exprimait cette idée de l’intangible dans une lettre de condoléances adressée à l’épouse d’un ami : « Pour nous, physiciens convaincus, la séparation entre passé, présent, et avenir n’a d’autre sens que celui d’une illusion, si tenace soit-elle. »
Une chanson de Zaz – ZAZ – Tout là-haut
Les paroles sur la vidéo
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